Le monde est bien petit… en 2016 et 2017, je chantais dans les chœurs du Barbier de Séville, puis de Don Pasquale, produits par FOGS à Meyrueis.
Chaque été, les habitants de Meyrueis soutiennent la production du spectacle : décors, costumes, logistique, hébergement des artistes…
C’est l’occasion de nouvelles rencontres, et ainsi, depuis 2016, je suis Amie sur Facebook avec Gisèle Giraud.
Et ainsi a-t-elle vu passer sur ma page un certain Pierre Coutras…
J’ai alors été contactée par son mari, Pierre, qui m’a demandé si j’étais bien la petite fille de Pierre Coutras, avocat et écrivain marseillais, qui dans les années 20, avait sponsorisé son père, Léon Giraud, coureur sur moto !
Mois : mars 2024
Louis Joseph Daumas
Sculpteur
Né à Toulon le 24 janvier 1801, Louis-Joseph Daumas est le fils de Cyprien François Daumas (1775 – 1851), maître-calfat et de Marie-Thérèse Laugier.
Il décède le 22 janvier 1887 à Paris.
Son frère, Jean-Barthélémy (1815 – 1879), est également sculpteur, et travaille avec lui, mais n’a pas sa notoriété.
Louis Joseph épouse en 1835 Françoise Raucaz, puis en 1848 Célestine Honorine Petit, avec qui il aura deux enfants :
– Savinien Bienvenu Théophile Daumas, prêtre, sans descendance. (1843 – 1927)
– Françoise Marthe Marie Daumas, sans descendance. (1849 – 1925)
Je n’ai pas pu établir de lien généalogique avec nos Daumas, mais si la tradition familiale dit que nous sommes parents, ce doit être vrai, d’autant plus que la famille dispose de lettres confirmant ce lien. Je continue les recherches.
Continuer la lecture de Louis Joseph DaumasEugène Auguste Audemar « Oncle Audemar »
Maire de Toulon
Né le 18 août 1815 à Toulon, décédé à Paris le 5 septembre 1882.
Avocat, Bâtonnier de l’ordre des avocats, Juge au Tribunal de la Seine,
Maire de Toulon de 1864 à 1870,
Chevalier de la Légion d’Honneur le 14 août 1865,
Officier de la Légion d’Honneur le 7 août 1869,
Officier de l’ordre des Saints Maurice et Lazare en 1866.
Continuer la lecture de Eugène Auguste Audemar « Oncle Audemar »Les Impressions du Défunt
« Sensations vécues »
Première édition en 1918
Editions de La Revue des Indépendants
85 pages
Publié en 1918, ce court roman est achevé en mars 1912, si l’on en croit la note en fin de texte.
On peut s’interroger sur le thème choisi par l’auteur pendant les mois qui précèdent son mariage avec Suzanne (31 août 1912)…
Continuer la lecture de Les Impressions du DéfuntLes Impressions d’un Nouveau-Né
Conte hypothétique
Editions de la Revue des Indépendants
Paris
1918
83 pages
Ce petit opuscule est le pendant des « Impressions du Défunt », les deux encadrant « Les Impressions d’une Nouvelle Mariée ».
Continuer la lecture de Les Impressions d’un Nouveau-NéLes Impressions d’une Nouvelle Mariée
Roman gai
Editions de Pro Arte
152 pages
1922
C’est le troisième et dernier opuscule des « Impressions », après celles du Défunt et celles du Nouveau-Né publiées toutes deux en 1918.
Il a également été publié dans des journaux comme nouvelle sous le titre « Charlette se marie ».
Feuilles de Platane
Nouvelles
Editions de La Sauterelle
1954
Illustrations d’Yvonne Coutras
180 pages
1954, après 24 ans de silence, Pierre Coutras publie « La Diabolique Tragédie » et « Feuilles de Platane ».
Le premier titre lui permet de reformuler sous une forme originale ses critiques sur la société, les lois, la politique, les règles et réglementations en général, bref, tout ce qui bride la liberté individuelle.
Antoine Atger dit La Valette, chef camisard.
né le 7 juin 1677 – décédé après 1714
Que fait ce chef camisard ici ? Non, il n’est pas parent avec Pierre Coutras, mais avec son épouse, Suzanne Rocheblave, dont il est un oncle à la 7ème génération. Le voici donc intégré à la famille !
Nous avons créé son entrée sur Wikipédia le 13 novembre 2023.
Il nous semble très injuste qu’il n’ait pas été plus considéré jusqu’ici.
En effet, à la lecture des mémoires d’Elie Marion, on apprend que La Valette est toujours présent à ses côtés, dès les débuts et pendant toute la période de lutte en Cévennes, et que Marion ne prend aucune décision sans lui demander son avis.
Les Tribulations d’un Poilu
Première édition en 1919
Editions de La Revue des Indépendants
240 pages
Réédition aux éditions de La Sauterelle en 1930
Préface par Auguste Mestrallet
Illustrations de A.-U. Perruche
pour l’édition de 1930