Les Impressions du Défunt

« Sensations vécues »

Les Impressions du Défunt
Les Impressions du Défunt

Première édition en 1918


Editions de La Revue des Indépendants


85 pages

Publié en 1918, ce court roman est achevé en mars 1912, si l’on en croit la note en fin de texte.

On peut s’interroger sur le thème choisi par l’auteur pendant les mois qui précèdent son mariage avec Suzanne (31 août 1912)…

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Les Impressions d’une Nouvelle Mariée

Roman gai

Les Impressions d'une Nouvelle Mariée

Editions de Pro Arte

152 pages

1922

La Gazette Littéraire 1er juillet 1933 Charlette se marie
La Gazette Littéraire 1er juillet 1933

C’est le troisième et dernier opuscule des « Impressions », après celles du Défunt et celles du Nouveau-Né publiées toutes deux en 1918.
Il a également été publié dans des journaux comme nouvelle sous le titre « Charlette se marie ».

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Feuilles de Platane

Nouvelles

Feuilles de platane

Editions de La Sauterelle

1954

Illustrations d’Yvonne Coutras

180 pages

1954, après 24 ans de silence, Pierre Coutras publie « La Diabolique Tragédie » et « Feuilles de Platane ».
Le premier titre lui permet de reformuler sous une forme originale ses critiques sur la société, les lois, la politique, les règles et réglementations en général, bref, tout ce qui bride la liberté individuelle.

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La Revue de Marseille

Nous avons peu d’informations sur la Revue de Marseille.
Voici ce que nous en dit Wikipédia, sur la page du fondateur de la Revue, Auguste Laforêt :

« La Revue de Marseille

Revue de Marseille, décembre 1876.

Auguste Laforêt fonde la Revue de Marseille et de Provence en 1855 avec trois associés : le journaliste Joseph Mathieu ; Rondelet, professeur à la faculté ; et Gaston de Flotte, homme de lettres. Il la dirige jusqu’à sa mort en 1880.
Les bénéfices de cette revue étaient destinés «au soulagement des déshérités».
Un journaliste et écrivain, défenseur des littératures « provinciales », Adolphe Kuntz de Rouvaire, témoigne du contexte marseillais des revues dans lesquelles il a pu écrire (le Phocéen, la Tribune artistique et littéraire du Midi, le Mistral) dans les années 1850.

Auguste Laforêt a publié, sous forme d’articles dans la revue, des textes qui deviennent des ouvrages après coup : Étude sur la marine des galèresLe BâtonVals…. Il écrit sous pseudonyme mais également des articles signés de son nom.
L’essentiel de son travail consiste, cependant, à solliciter et à accueillir des études de tout genre provenant de très nombreux collaborateurs.
À la mort d’Auguste Laforêt, en 1880, François Marin de Carranrais (1850-1928) est nommé membre du conseil d’administration de la Revue de Marseille et de Provence. La revue disparaît en 1893. En 1919, le docteur Émilien Castueil et l’écrivain Pierre Coutras font reparaître la publication. »

1919 08 20 L'Intransigeant création de la Revue de Marseille
1919 08 20 L’Intransigeant : création de la Revue de Marseille