Bugatti 41

Article de 1957 sur la Bugatti type 41 de 1930
Article de 1957 sur la Bugatti type 41 de 1930

Cette Bugatti a dû faire rêver Pierre Coutras, puisqu’il a conservé cet article, paru en 1957, présentant ce fabuleux modèle de 1930.
Le prix laisse songeur, puisque 500 000 francs de 1930 correspondent à 285 000 euros… et c’est le prix du chassis seulement…

Remerciements

Automobile jouet mécanique JEP
Automobile jouet mécanique JEP (Jouet de Paris) 7391 – Delage (1925 – 1931)

Je remercie pour leur participation à ce site :

  • Fabien Perez, qui en a été le déclencheur en redonnant vie à « La Maîtresse d’Acier »

    Pour leurs apports de témoignages, photos, documents :
  • Jeanne Coutras-Corazza, gardienne des archives familiales,
  • Martine Corazza-Picano,
  • Laurence Picano,
  • Catherine Corazza-Faucher,
  • Paule et Jean-Louis Pascal Gonfard,
  • Jean-Pierre et Danielle Rey,
  • Claude et Christiane Rey,
  • Yvonne Coutras-Maupas dont je suis dépositaire des archives. (toutes les photographies des automobiles, motos, courses, journaux personnels, romans et chroniques).

Et Pierre Coutras, pour tout ce qu’il nous a donné et nous donne encore.

Charlette se marie…

Gazette Littéraire 1er juillet 1933
Gazette Littéraire du 1er juillet 1933
Charlette se marie… Roman par Pierre Coutras

Sous ce format « journal » fort incommode, nous trouvons en fait, sous le titre « Charlette se marie », les « Impressions de la Nouvelle Mariée », publié en 1922.

La Gazette Littéraire 1er juillet 1933 Charlette se marie
La Gazette Littéraire 1er juillet 1933 « Charlette se marie »
La Gazette Littéraire 1er juillet 1933 Charlette se marie
La Gazette Littéraire 1er juillet 1933 « Charlette se marie »

Autre publication en format journal :

Charlette se marie
Charlette se marie

Georges-Hubert Gimmig

(Marseille 13 août 1893 – Toulon 27 septembre 1975)

Georges-Hubert Gimmig est le frère de Pierre Gimmig, peintre, à qui nous avons consacré une autre page.

Il ne s’agit pas du roman éponyme que publiera Pierre Magnan en 1984, porté à l’écran en 1988.

Ce livre, qui présente 7 nouvelles, commence par le récit autobiographique de la maison assassinée : il s’agit de la « campagne », maison de famille située sur la Butte Bompard, à Marseille, sous la Bonne-Mère, Notre Dame de la Garde.
Réquisitionnée par les allemands, elle est totalement ruinée à la fin de la guerre.

Pierre Gimmig La Garde
Pierre Gimmig La Garde

Le roman est publié en novembre 1953, et l’auteur le dédicace à Pierre Coutras le 15 mars 1954.

Georges-Hubert Gimmig n’était pas avocat, et il s’adresse à Pierre Coutras en tant que « confrère » écrivain.

Dans tout le livre, Pierre Coutras a souligné un petit passage au stylo bille rouge :

GH Gimmig La Maison assassinée escargots
G.H. Gimmig La Maison assassinée : passage souligné page 67

D’abord perplexe sur ce choix, il m’est revenu à l’esprit un tableau de Pierre Coutras, certainement inspiré par ce passage :

Le revenu de la propriété (Coll. JLPG)
Le revenu de la propriété (Coll. JLPG)

Malheureusement, contrairement à son habitude, Pierre Coutras n’a pas daté le tableau au dos, ce n’est donc qu’une supposition invérifiable pour le moment…

Je remercie Georges Gimmig, petit-neveu de Pierre et petit-fils de Georges-Hubert pour ses informations.

Pierre Coutras, mon grand-oncle par alliance, par Danielle

Danielle Arvieux, épouse de Jean-Pierre Rey, fils de Henri Rey, fils de Marguerite Rey, sœur de Suzanne Rocheblave, épouse de Pierre.

Ce que Danielle m’a conté, par Jean-Pierre.

Danièle 1970
Danielle en 1970

De 1973 à 1981, Danielle a été voisine de mon grand-oncle Pierre. A cette époque elle ne travaillait pas encore et elle a eu souvent l’occasion de croiser son chemin, dans le quartier, soit en allant faire ses courses soit en allant à l’école de la rue Eydoux chercher nos enfants.
Dans la rue, chaque rencontre était l’occasion d’échanger les dernières nouvelles de la famille et des propos toujours intéressants, aimables et courtois.
Il y avait également les fois où la rencontre se faisait chez les commerçants du quartier, notamment Patirot le traiteur de la rue Saint Michel, où Pierre allait choisir avec gourmandise son menu du jour. Il était toujours accueilli aimablement et avec plaisir, car ce n’était pas un client ordinaire. Il était connu par les commerçants du quartier pour ses petits mots, ses réflexions ou ses anecdotes toujours pleins d’humour et parfois surprenants.

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