De retour bientôt !
Mois : mai 2022
Bugatti 40
Bugatti 41
Cette Bugatti a dû faire rêver Pierre Coutras, puisqu’il a conservé cet article, paru en 1957, présentant ce fabuleux modèle de 1930.
Le prix laisse songeur, puisque 500 000 francs de 1930 correspondent à 285 000 euros… et c’est le prix du chassis seulement…
Rolls Royce Silver Ghost I
immatriculée 771 CB
Continuer la lecture de Rolls Royce Silver Ghost IRemerciements
Je remercie pour leur participation à ce site :
- Fabien Perez, qui en a été le déclencheur en redonnant vie à « La Maîtresse d’Acier »
Pour leurs apports de témoignages, photos, documents : - Jeanne Coutras-Corazza, gardienne des archives familiales,
- Martine Corazza-Picano,
- Laurence Picano,
- Catherine Corazza-Faucher,
- Paule et Jean-Louis Pascal Gonfard,
- Jean-Pierre et Danielle Rey,
- Claude et Christiane Rey,
- Yvonne Coutras-Maupas dont je suis dépositaire des archives. (toutes les photographies des automobiles, motos, courses, journaux personnels, romans et chroniques).
Et Pierre Coutras, pour tout ce qu’il nous a donné et nous donne encore.
Hispano – Suiza H6B (2)
dite Hispano II
immatriculée 4863 CA9 puis réimmatriculée en Lozère 6954 JZ
Continuer la lecture de Hispano – Suiza H6B (2)Charlette se marie…
Sous ce format « journal » fort incommode, nous trouvons en fait, sous le titre « Charlette se marie », les « Impressions de la Nouvelle Mariée », publié en 1922.
Autre publication en format journal :
Georges-Hubert Gimmig
(Marseille 13 août 1893 – Toulon 27 septembre 1975)
Georges-Hubert Gimmig est le frère de Pierre Gimmig, peintre, à qui nous avons consacré une autre page.
Il ne s’agit pas du roman éponyme que publiera Pierre Magnan en 1984, porté à l’écran en 1988.
Ce livre, qui présente 7 nouvelles, commence par le récit autobiographique de la maison assassinée : il s’agit de la « campagne », maison de famille située sur la Butte Bompard, à Marseille, sous la Bonne-Mère, Notre Dame de la Garde.
Réquisitionnée par les allemands, elle est totalement ruinée à la fin de la guerre.
Le roman est publié en novembre 1953, et l’auteur le dédicace à Pierre Coutras le 15 mars 1954.
Georges-Hubert Gimmig n’était pas avocat, et il s’adresse à Pierre Coutras en tant que « confrère » écrivain.
Dans tout le livre, Pierre Coutras a souligné un petit passage au stylo bille rouge :
D’abord perplexe sur ce choix, il m’est revenu à l’esprit un tableau de Pierre Coutras, certainement inspiré par ce passage :
Malheureusement, contrairement à son habitude, Pierre Coutras n’a pas daté le tableau au dos, ce n’est donc qu’une supposition invérifiable pour le moment…
Je remercie Georges Gimmig, petit-neveu de Pierre et petit-fils de Georges-Hubert pour ses informations.
Pierre Coutras, mon grand-oncle par alliance, par Danielle
Danielle Arvieux, épouse de Jean-Pierre Rey, fils de Henri Rey, fils de Marguerite Rey, sœur de Suzanne Rocheblave, épouse de Pierre.
Ce que Danielle m’a conté, par Jean-Pierre.
De 1973 à 1981, Danielle a été voisine de mon grand-oncle Pierre. A cette époque elle ne travaillait pas encore et elle a eu souvent l’occasion de croiser son chemin, dans le quartier, soit en allant faire ses courses soit en allant à l’école de la rue Eydoux chercher nos enfants.
Dans la rue, chaque rencontre était l’occasion d’échanger les dernières nouvelles de la famille et des propos toujours intéressants, aimables et courtois.
Il y avait également les fois où la rencontre se faisait chez les commerçants du quartier, notamment Patirot le traiteur de la rue Saint Michel, où Pierre allait choisir avec gourmandise son menu du jour. Il était toujours accueilli aimablement et avec plaisir, car ce n’était pas un client ordinaire. Il était connu par les commerçants du quartier pour ses petits mots, ses réflexions ou ses anecdotes toujours pleins d’humour et parfois surprenants.
Bugatti 27
immatriculée 1634 CA1