Publié en 1918
à Paris, Edition de la « Revue des indépendants »
209 pages.
Continuer la lecture de Les tribulations d’un jeune écrivainPublié en 1918
à Paris, Edition de la « Revue des indépendants »
209 pages.
Continuer la lecture de Les tribulations d’un jeune écrivainNous présentons ici des coupures de journaux, la sélection n’est en rien exhaustive, mais la masse de documents à traiter est colossale… Nous enrichirons au fur et à mesure…
Continuer la lecture de Articles de presse de Pierre CoutrasComédie en un acte
Ce que nous en savons, d’après les agendas :
Annoncée comme publication à venir dans certains livres, cette pièce n’a finalement jamais été éditée. Pierre Coutras a sans doute réalisé lui-même quelques exemplaires à la main, qui ont été distribués.
Et une incursion récente dans les archives nous permet d’en retrouver le manuscrit, que voici ci-dessous :
Voici un petit fascicule de 50 pages, contenant 6 contes autour du monde animal, de la chasse, de la nature.
Charles de Warnod n’a laissé aucune trace sur internet… dans la préface, Pierre Coutras nous apprend qu’il est originaire de Franche-Comté.
Nous trouvons plus d’informations sur le Directeur de Publication : Gérard de Lacaze-Duthiers.
Fondée en 1912 par Robert Morche, cette revue à périodicité variable publie des textes et articles d’un groupe d’intellectuels, dont Pierre Coutras fait partie, ainsi que Gustave Kass.
Elle édite également de nombreux ouvrages, et des anthologies.
On en trouve quelques exemplaires d’occasion sur internet.
Les informations à son sujet sont noyées dans un amalgame étonnant avec « La Revue Indépendante », publication de la fin du XIXème siècle, y compris sur le site de la BNF.
En 1948, les Editions Mutuelles du Gévaudan, à Marvejols, publient comme l’année précédente une anthologie destinée à fournir des textes aux instituteurs et professeurs des écoles.
Elles choisissent d’y intégrer « Le Fromentail », texte de Pierre Coutras extrait de son roman « Les piquants du Marron ».
Avec ce chant d’amour à la terre lozérienne, Pierre Coutras rejoint dans ce recueil André Chamson, Pierre Loti, Hector Malot, et d’autres grands auteurs locaux ou internationaux, comme Robert Louis Stevenson.
Sous ce format « journal » fort incommode, nous trouvons en fait, sous le titre « Charlette se marie », les « Impressions de la Nouvelle Mariée », publié en 1922.
Autre publication en format journal :
Le 26 novembre 1922, dans la Vallée des Rois, en Egypte, Howard Carter et Lord Carnavon ouvrent la tombe de Toutânkhamon, et l’égyptologie franchit un tournant décisif.
Elle a déjà pris un nouvel essor à la fin du XIXème siècle, le pillage de tombes ayant laissé la place à une démarche scientifique, dont témoignent de nombreuses publications très documentées.
Revenons à Pierre Coutras, né en 1889. Il suit des études classiques jusqu’à la Licence de Droit. Ses propres recherches, sa curiosité, font de lui un homme cultivé qui suit de près l’actualité et les fabuleux progrès du début du XXème siècle.
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