
Ecrite par Yvonne Coutras, la fille de Pierre, cette petite nouvelle a été publiée dans la revue trimestrielle « Actualité et critique de la nouvelle – Le gué – revue littéraire » numéro 6/7 du 4ème trimestre 1977.


La famille au Pompidou en 1923
Vous trouverez ici les travaux et œuvres réalisés par des membres de la famille de Pierre Coutras, ou des amis, ou connaissances.
Famille :
Victor Mouren
Suzanne Rocheblave
Yvonne Coutras
Jeanne Coutras
Francis Gonfard
Jack Maupas
Max Escalon de Fonton
Amis :
Autres amis et relations
Antoine Antona dit Toé
Laure Basque
Marie-Thérèse Bonhomme
Marie-Louise Chapuset
Frédéric Douville
Claire Finaud-Bounaud
Georges Finaud
Georges-Hubert Gimmig
Pierre Gimmig
Gustave Kass
Robert Morche
Daniel-Rops (Henry Petiot)
Jak Seksik
Ecrite par Yvonne Coutras, la fille de Pierre, cette petite nouvelle a été publiée dans la revue trimestrielle « Actualité et critique de la nouvelle – Le gué – revue littéraire » numéro 6/7 du 4ème trimestre 1977.
Nous pouvons lire ci-dessous deux recueils de poèmes de Francis Gonfard, 1er époux d’Yvonne, la fille ainée de Pierre Coutras.
Le deuxième recueil lui est dédicacé. Il est publié en 1966, année de naissance du petit-fils de Francis et Yvonne, a qui le poème « Pardon » est dédié.
Le tombeau d’Yvonne : 1978, Francis Gonfard et Yvonne Coutras sont divorcés depuis 30 ans… Yvonne vit ses derniers jours, elle va décéder le 17 août. Dès le 11, Francis commence à écrire des poèmes à celle qu’il n’a jamais cessé d’aimer. Il en écrira jusqu’au 17 avril 1982, et ce sont ces poèmes qui sont rassemblés dans ce recueil de 455 pages.
Poème dédié « A Mamy Suzanne », son ex-belle-mère, le 19 novembre 1972 pour ses 80 ans :
Les ans ne comptent pas, c’est nous qui les comptons,
Le nombre nous détruit mais le temps nous conserve
Puisqu’il est éternel. Sous certaines réserves
Nous le sommes aussi grace à nos rejetons.
Pour vous, chère Mamy, pour vous que nous fêtons
En exprimant le vœu que les dieux vous préservent
Des outrages sournois qui chez d’autres s’observent,
Pour vous, (et pour la rime !) j’élève mon rhyton.
Buvons à nos espoirs qui deviennent immenses
Quand ils sont délivrés, déjà de l’existence,
De la banalité de ce monde de fous.
Buvons à la santé de toutes les jeunesses
Soit de corps, soit de cœur, aujourd’hui près de vous
Qui serez à jamais un havre de tendresse.