Présentation
Il y a 2 ans, stimulée par la réédition de « La Maîtresse d’Acier », je décidais de donner un nouveau souffle aux quelques pages que j’avais consacrées à mon grand-père Pierre Coutras sur mon site perso… en 2005.
C’était le début d’un grand voyage dans l’histoire familiale.
Il était inimaginable que ce voyage ne passe pas par la généalogie, dans laquelle j’avais déjà mis plusieurs fois le nez, avec des objectifs différents chaque fois.
Au début des années 2000, j’avais créé dans Généanet mon arbre en partant des informations de ma tante Jeanne Coutras-Corazza.
Quelques années plus tard, je fis des recherches pour alimenter ma branche paternelle.
On était bien loin de la quantité de documents numérisés que l’on trouve sur internet aujourd’hui, et le travail était difficile, voire impossible sans se déplacer. Et puis, se déplacer où ?
En 2016, je fis un gros travail du côté de mon époux Philippe. D’abord sur la branche paternelle ardéchoise, ce qui fit un grand plaisir à sa tante, découvrant à 98 ans ses origines depuis les années 1600 !
Puis sur sa branche maternelle : impossible à remonter du coté du grand-père, émigré de Russie en 1919, mais déjà présente sur internet du côté de la grand-mère, issue d’une famille aristocratique bourrée de polytechniciens, de maîtres de forges et de capitaines d’industrie (Aciéries Martin). Cela me permit de constater que l’on avait à présent de nombreuses sources sur internet, et je pus aussi faire progresser ma branche paternelle (bretonne – normande).
Fin 2023, un soir que je discutais avec mon cousin Jean-Pierre Rey, il me rappela que nous avions du côté Rocheblave, en Cévennes, un ancêtre camisard, Antoine Atger, dit « La Valette ».
J’eus envie de creuser, ce qui me mena… fort loin ! J’en profitai pour donner à « La Valette » sa juste place sur Wikipédia.
Surfant des Cévennes vers ma Normandie paternelle, je fis un incroyable saut dans l’histoire et le temps.
Et début 2024, mon cousin Claude Rey me communiqua ses travaux sur la branche Rocheblave, ce qui me mena… encore plus loin de ce côté là.
Il semble que de nombreuses personnes se sont mises à la généalogie pendant le Covid, et les ressources en ligne ont explosé.
Pour achever ce paragraphe, je tiens à remercier pour leurs travaux préalables ; Jeanne Coutras-Corazza, Danièle et Jean-Pierre Rey, Christiane et Claude Rey, et Michel Bancilhon, que je ne connais pas personnellement, mais dont l’arbre qui contient 68 000 cévenols est une ressource précieuse.
Mon arbre, lui, modestement, comptait 900 individus il y a 6 mois, et 7217 au moment où j’écris.
Je vais dès le prochain article le mettre à votre disposition, et dans les articles suivants vous présenter les faits remarquables.
Avertissement
Si vous croyez à l’astrologie : je suis scorpion, en tant que tel, je lève les secrets, et je ne peux diffuser une information si je la considère comme fausse.
Si vous croyez à la science : bien que totalement non scientifique, je suis passionnée par la recherche, je suis assez tenace, je me débrouille sur internet, je suis geek et attirée par les nouvelles technologies, et j’estime normal de partager ce que je trouve.
Si vous croyez à l’humain : je suis incapable de m’attribuer quelque chose que je n’ai pas fait, ou de laisser croire sur moi quelque chose qui est faux, même et surtout si c’est très valorisant, et je ne saurais diffuser une information qui fait plaisir si je sais qu’elle est erronée.
Ceci dit pour amener ce qui suit : j’ai fait des découvertes très intéressantes, pas vraiment surprenantes lorsqu’on commence à bien naviguer dans la généalogie, et ce que je vais vous communiquer dans les articles à venir peut être considéré comme fiable, même s’il y a certainement dans le détail des inexactitudes, que je corrigerai au fur et à mesure si possible.
De ce fait, certains pans de la légende familiale peuvent être ébranlés… voire abattus. Ce n’est pas grave à mes yeux, car comme souvent, la réalité dépasse la fiction.
Si vous préférez rester dans le légendaire familial, c’est votre droit le plus absolu, et dans ce cas, la section « généalogie » devra être évitée.
Mais ce serait tellement dommage…